Aller au contenu. | Aller à la navigation

Navigation

Navigation
Menu de navigation

Navigation

Actions sur le document
Illustration de l'actualité - cliquer pour agrandir

L'art public

De la monumentalité…

Ianchelevici a réalisé plusieurs œuvres pour l’espace public : L’Appel (1939, La Louvière), Le Résistant (1946, Breendonk), Le Verbe (1955, Anvers), Le Plongeur (1939, Liège), Perennis perdurat Poeta (1968, Anvers),  Camille Huysmans (1971, Anvers), Impatience d’avenir (1990, Maisons-Laffitte, France), La cracheuse (1943, Maisons-Laffitte, France), A la résurrection d’Israël (1953, Haïfa, Israël), Le pêcheur, Le Pâtre et le Chasseur (1956, Kinshasa, Afrique).

L’artiste dira : « Toute œuvre sculpturale, qu’elle soit destinée à l’extérieur ou à l’intérieur doit être conçue pour être vue de tous les côtés, et même pour obliger le spectateur à tourner autour. Elle doit être vivante, donner l'impression de pouvoir descendre de son socle, mais elle ne peut le faire et doit y rester, elle est sculpture et ne peut se mêler aux vivants. Une sculpture doit tenir par elle-même dans l'espace et doit être dans tous les sens du terme monumentale. Elle doit toujours dépasser l'humain, car elle est l'idéal de l'humain. »

Un monument, qu’il soit commémoratif ou décoratif, doit être communicatif.

L’intégration à l’urbanisme est une autre volonté importante chez Ianchelevici, concrétisée par la création du Prix triennal Ianchelevici qui récompense l’intégration de la sculpture monumentale à l’urbanisme.